Les truffes à psilocybine sont de plus en plus populaires auprès des consommateurs qui recherchent des expériences intenses. Si vous avez envie de les adopter, cet article est rédigé à votre intention. Découvrez dans un premier temps ce que sont ces plants et ensuite les façons de les consommer pour avoir de meilleurs résultats.
Que sont les truffes à psilocybine ?
Avant de découvrir comment consommer les truffes, il est essentiel de savoir ce qu’elles sont exactement. Pour ceux qui ne le savent pas, il s’agit de la partie souterraine de l’organisme qui crée les champignons magiques. Contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, elles diffèrent donc des champignons magiques. Cependant, comme ceux-ci, les truffes contiennent de la psilocybine. Etant donné que la loi française n’autorise pas l’utilisation de la psilocybine, leur consommation n’est donc pas légale dans l’hexagone. Vous pourrez cependant en consommer si vous êtes aux Pays-Bas par exemple.
Comment en consommer légalement ?
Si vous êtes dans un pays où la consommation des truffes est légale, vous pourrez en consommer. Comme avec toute plante avec des effets psychotropes, une consommation responsable est conseillée. Plusieurs modes de consommation s’offrent à vous. Vous pourrez les consommer fraîches directement si le goût ne vous gêne pas. Vous pourrez aussi faire le choix de les utiliser pour faire du thé, de la soupe ou les mélanger à votre repas.
Avant toute chose, renseignez-vous sur la variété de truffes que vous consommez et adaptez votre dosage en fonction de cette dernière. Lorsque la teneur en psilocybine est faible, vous pourrez consommer plus de 15 grammes de truffes. Si la teneur est moyenne, consommez entre 7,5 et 15 grammes pour un trip merveilleux. Si la teneur est forte cependant, vous devez vous limiter à seulement 7,5 grammes. Dépassez cette dose et votre organisme pourrait ne pas le supporter. Évitez donc. Pour finir, afin d’éviter tout accident, il est déconseillé de mélanger les truffes avec d’autres substances psychotropes.
